Le jardin arc-en-ciel / Ito Ogawa

Chaque roman
d'Ito Ogawa plonge le lecteur dans un bain d'amour et de bienveillance.
C'est une fois de plus le cas avec ce merveilleux roman aux couleurs de
l'arc-en-ciel, du bonheur quotidien sans niaiserie mais avec beaucoup de
tendresse.
Izumi est une mère célibataire qui élève son fils Sosûke du mieux qu'elle peut. Elle rencontre et « sauve » Chiyoko sur le quai d'une gare au moment où celle-ci s'apprête à se jeter sous un train. Cette jeune lycéenne va alors passer beaucoup de temps chez Izumi. Leur liaison amoureuse naissante les incitera à quitter la ville pour aller vivre « là où les étoiles sont belles », un petit village avec ses rizières en terrasse qu'elles appellent affectueusement le Machu Picchu.
Avec le petit Sosûke, les deux femmes s'installent dans une maison laissée à l'abandon qu'elles retapent. Chiyoko donnera elle-même naissance à une fille. Cette drôle de famille choque certains, mais la gentillesse qui émane d'elle arrive à bout de toutes les médisances.
Loin de se laisser abattre, les deux femmes vont aménager leur nid en maison d'hôtes pour tous : homosexuels, hétérosexuels, avec ou sans enfants. Le drapeau arc-en-ciel y flotte gaiement et de bons petits plats familiaux y sont partagés.
Elles mèneront une vie remplie d'amour, de sagesse et de sérénité malgré les difficultés et les malheurs qui jalonneront leurs vies. Le sujet sensible de l'homosexualité et de l'homoparentalité est abordé avec justesse. S'ouvrir aux autres, parler, écouter... Un roman bien écrit, optimiste et plein de sagesse et de tolérance, qui réjouira les amateurs de littérature japonaise. Marina (le 23 janvier 2019)
Izumi est une mère célibataire qui élève son fils Sosûke du mieux qu'elle peut. Elle rencontre et « sauve » Chiyoko sur le quai d'une gare au moment où celle-ci s'apprête à se jeter sous un train. Cette jeune lycéenne va alors passer beaucoup de temps chez Izumi. Leur liaison amoureuse naissante les incitera à quitter la ville pour aller vivre « là où les étoiles sont belles », un petit village avec ses rizières en terrasse qu'elles appellent affectueusement le Machu Picchu.
Avec le petit Sosûke, les deux femmes s'installent dans une maison laissée à l'abandon qu'elles retapent. Chiyoko donnera elle-même naissance à une fille. Cette drôle de famille choque certains, mais la gentillesse qui émane d'elle arrive à bout de toutes les médisances.
Loin de se laisser abattre, les deux femmes vont aménager leur nid en maison d'hôtes pour tous : homosexuels, hétérosexuels, avec ou sans enfants. Le drapeau arc-en-ciel y flotte gaiement et de bons petits plats familiaux y sont partagés.
Elles mèneront une vie remplie d'amour, de sagesse et de sérénité malgré les difficultés et les malheurs qui jalonneront leurs vies. Le sujet sensible de l'homosexualité et de l'homoparentalité est abordé avec justesse. S'ouvrir aux autres, parler, écouter... Un roman bien écrit, optimiste et plein de sagesse et de tolérance, qui réjouira les amateurs de littérature japonaise. Marina (le 23 janvier 2019)